La Musique du Film


Domme (24 - Dordogne) : Les étranges graffitis indéchiffrables des Templiers

(Source : http://www.ot-domme.com/graffitis.php )
"L'épisode des Templiers "


La ville est à peine achevée, qu’elle intervient involontairement dans le schéma de l’histoire mondiale.
C’est l’arrestation des Templiers qui met la bastide en avant.
En effet, 1307 permet la rencontre de Domme avec les templiers. Domme est une toute jeune bastide qui vient juste d’être achevée.
La "Porte des Tours" est à peine édifiée, alors qu’elle devait servir d’abri au corps de garde, elle sert immédiatement de prison aux Templiers. Jusqu’à 70 personnes ont été enfermées dans la Tour.
Pendant leur arrestation, certains se sont mis à graver un message, un message qui aujourd’hui encore est indéchiffrable. Toute la partie Nord de la tour est entièrement gravée. Des mots, des crucifix, des personnages, des dates et des symboles divers composent le dit message. Un profond mystère que l’on sait important.
Dès 1318, il n’apparaît plus de traces des Templiers, tous sont morts. Aucun n’est ressortit vivant de la prison.
DOMME PEUT-ÊTRE LE TRESOR SPIRITUEL DES FAMEUX CHEVALIERS DE L’ORDRE DU TEMPLE

Marie-Madeleine

(Source : http://www.prismeshebdo.com/prismeshebdo/article.php3?id_article=493 )

Le Codex de Berlin, découvert en Egypte, fut rédigé en copte vers la fin du 2e s. de notre ère. Il inclut l’Evangile de Marie, un court écrit dont quelques passages manquent. Il contient cependant d’étonnantes révélations sur le cercle des disciples de Jésus et leur travail spirituel. La figure de Marie-Madeleine, qui relate les faits, se dresse avec force et révèle la clarté d’une femme aux prises avec la suprématie masculine.
"Soeur, nous savons que le Sauveur te préférait aux autres femmes, rapporte-nous les paroles du Sauveur dont tu te souviens, et que tu as comprises et pas nous, et surtout celles que nous n’avons pas entendues", demande Pierre à Marie-Madeleine.
[...]
Son influence est toutefois considérable : c’est à elle que Jésus apparaît lors de sa résurrection, lorsqu’elle vint s’occuper du corps. Cette seule tâche, dévolue à une femme très proche, souligne son lien particulier avec Jésus : Marie, mère de Jésus, est toujours vivante mais ce n’est pas elle qui effectue cette opération. Curieusement, la conversation de Marie-Madeleine avec Jésus ressuscité n’est pas rapportée dans l’Evangile de Jean dont les écrits témoignent pourtant d’une connaissance initiatique poussée ; il dépeint simplement l’affolement de Marie-Madeleine à la vue du tombeau vide, comme si elle avait perdu la tête. Tout l’aspect crucial de la vision puis de la reconnaissance de Jésus ne figure pas dans son texte.
Après son ascension définitive, Jésus apparaît de nouveau à Marie-Madeleine. Le Codex de Berlin raconte la déclaration de Marie aux disciples : "J’ai vu le Seigneur dans une vision." Aussitôt, elle est prise à parti par le groupe : "Pour ma part", dit André, "je ne crois pas que le Sauveur ait dit cela. Car ses enseignements ont certainement une autre signification." Et Pierre ajoute : "Se serait-il entretenu avec une femme, en secret et à notre insu ? Devrions-nous nous tourner vers elle et l’écouter tous ? Il l’aurait privilégiée par rapport à nous ?" Alors Matthieu répond à Pierre : "Si le Sauveur l’a rendue digne, qui es-tu, toi, pour la rejeter ? Certainement le Sauveur la connaît à fond. C’est pourquoi Il l’a aimée plus que nous ! Ayons plutôt honte et revêtons plutôt l’Homme Parfait comme Il nous en a donné la mission ! Nous devons proclamer l’Evangile sans établir d’autres règles ou d’autres lois que celles prescrites par Lui."

Nous le constatons : selon la conception de ces hommes, une femme ne saurait être considérée digne d’être initiée, à plus forte raison de manière directe et à titre individuel. L’intervention de Matthieu met bien en relief la préférence marquée de Jésus envers Marie-Madeleine, que personne ne songe ensuite à contester. Ce lien seul est insupportable et critiqué par les apôtres, qui ont même demandé à Jésus qui d’entre eux siégerait assis à sa droite et à sa gauche dans le Royaume des Cieux... Le Codex de Berlin met en évidence les dissensions et la soif de puissance des disciples. Malgré le témoignage de vie de Jésus, ils continuent de rivaliser entre eux et prolongent la loi ancienne.

La tradition juive faisait de la femme un être indigne, impur, inférieur, dangereux - un aspect qui perdure à notre époque encore en de nombreux domaines. Le groupe des apôtres est nommément constitué d’hommes ; les femmes y sont simplement présentes comme des suiveuses. Jésus ne craignait cependant pas de déranger "l’ordre" établi en louant Marie de Béthanie, assise à ses pieds et écoutant son enseignement sans s’activer dans la maison. Pareillement, on le voit au contact de femmes adultères, de prostituées ou de pauvres vieilles affectées de maux divers.

Marie-Madeleine dérange donc à double titre : elle est femme, et elle fut l’aimée de Jésus qui lui dispensa un enseignement dont les autres ne bénéficièrent pas. Après son ascension, Il demeura même en contact avec elle. Dans le Codex de Berlin, lorsqu’elle est accusée d’affabuler, par les disciples jaloux à propos de sa vision, elle fond en larmes : son récit, qui constitue un authentique enseignement spirituel, n’a pu être reçu par ces hommes aveuglés par leur prééminence, leur soif de pouvoir, et qui s’imposent en tant que continuateurs de l’ordre ancien.

Quel enseignement nous est donné par Marie-Madeleine, qui seule l’a reçu ?

L'église St-Sulpice et le Méridien "Rose Line"

La Méridienne de Paris traversait la France de Dunkerque à Prats de Mollo qui est l’ultime et plus élevé point construit avant la frontière avec l’Espagne. Ce dernier site balisant le méridien se trouve dans les terres de Roussillon. Etrange pays dont les seigneurs furent les ‘Cousins’ des rois de France et dont les premières dynasties remonteraient aux Urséolus légendaires : les seigneurs Ours ! Or le symbole de l’Ours nous renvoie au méridien, à savoir ‘l’Axis Mundi’ (nous rappelons que le ru endigué sous l’observatoire, le SAYX, est l’anagramme de axys !) soit l’axe du Monde, présidant aux constellations de la grande Ourse et de la Petite Ourse, donc la Polaire axe immobile de notre voûte céleste.

Mais cette ultime étape de la méridienne nous rappelle qu’elle est tracée de couleur rouge et que le Roussillon est aussi le ‘Sillon Roux’. Et un sillon roux est une ligne rouge ! Cette dernière terre de France était-elle faite pour recevoir, au sud, la ligne méridienne zéro ? C’est en tous cas ce qu’écrit Cassini, admiratif du passé de ces contrées énigmatiques aux confins du royaume. On dit encore que les terres de Roussillon abriteraient le tombeau d’un monarque dont la résurrection sauverait le monde… et aussi que Marie-Madeleine y serait venue après son arrivée aux Saintes Marie de la Mer. Marie-Madeleine dont les Roussillon affirmeront en tous cas savoir où sont vraiment les vraies reliques et les transféreront à Vézelay étape incontournable sur la route de Compostelle.

Les Roussillon encore dont le nom issu des Russéolus aurait un lien avec le rouge-sang si cher à Rabelais et à Gargantua, et de là aux légendes des rois géants des Pyrénées, pays de Pra de mollo, mais surtout de Montréal de Sos, véritable Mont Royal avec sa fresque du Graal enfouie au fond d’une grotte et retombée dans l’oubli. La liaison avec le sang serait alors faite avec les Ourses du blason de Sabarthes (adossées à une coupe du Graal) et la couleur verte qui est l’émeraude du calice sacré … bouclant ainsi la relation avec l’Ours du roi Artus et les romans de la Table Ronde en queste d’un Graal que les Cathares de Montségur évacuèrent sur la commanderie de Capoulet ! - Notre méridien zéro nous donnait la garde du monde ‘mesuré’ et cadré par une ligne rouge gardienne de tous débordements incontrôlés. C’est encore cette ligne rose, déjà aperçue, et qui se concrétise, dans l’affaire de Rennes-le-Château par la Ste Roseline célébrée le 17 janvier. 17 janvier… date formidable du dépôt par Perrault et Cassini, dans l’oratoire prévu à cet effet, de la statue de la vierge ‘noire’ au fond des souterrains de l’Observatoire de Paris ! 17 janvier fête aussi de St Genou… sans que l’on ne sache s’il s’agit du patron des initiés au genou découvert, de celui de Rabelais, ou de celui de Grasset d’Orcet : « JE – NOUS » pour genou. 17 janvier fête enfin de St Sulpice ancien évêque de la cathédrale de Bourges. Bourges ville traversée par la méridienne zéro certes, mais aussi capitale des Bituriges qui se disaient ‘Rois du monde’. St Sulpice encore, en revenant sur Paris, qui est le vocable d’une église abritant un gnomon astronomique juste situé sur le passage du méridien de Paris ? mais aussi une église qui tient une place prépondérante dans l’affaire de Rennes-le-Château et le fameux méridien.

Dans cette église de St Sulpice on trouve une peinture de Delacroix ‘Héliodore chassé du temple’. Rien, jusque là de bien mystérieux. Pourtant nous notons que ce travail se trouve dans la ‘Chapelle des Sts Anges’ (doit-on y trouver une similitude avec les sociétés ‘Angéliques ?). Et, en regardant cette peinture de plus près, nous observons que 5 personnages ont le genou droit découvert, ce qui nous donne en langue ‘oiselée’ (Grasset d’Orcet) cinq genoux = ‘Saint genou’ retour au 17 janvier ! Il nous manque st Roseline ? qu’à cela ne tienne, car sous la chapelle des Sts Anges s’en trouve une autre souterraine sous le vocable du ‘Rosaire’ où était vénérée autrefois une sainte Roseline… A présent on y vénère une autre statue, celle de N.D. du Bon Chemin… on croit rêver ! Nous savons que le genou des Initiés est le gauche, et Delacroix choisit le droit cinq fois. Admettons, un instant, que cette inversion ait une importance, et c’est l’avis de celui qui travailla sur l’affaire de R.L.C. sous le pseudonyme de PUMAZ, on peut en effet reporter sur une carte du secteur un tracé, très simple, dont la pointe majeure indique la commune de Arques dans l’Aude (nb perso : département de Rennes-Le-Château et de l'abbé Saunière). Bien entendu on ne peut que supposer le hasard le plus pur. Pourtant dans ce tracé inversé sur la fresque de Delacroix la colonne principale prend place sur la carte sur le tracé du méridien de Paris et le même méridien passe à coté de la commune de Arques ! Rendons nous à Arques. Le méridien passe en vérité sur la commune voisine à quelques centaines de mètres d’Arques, et plus précisément il coupe la R.N.613 au lieudit ‘ Les Pontils’. En ce lieu, il y a quelques années, se dressait encore un tombeau dont la forme était identique à celui représenté sur le célèbre tableau de Nicolas Poussin : ‘Les Bergers d’Arcadie’… Le lieu ayant été maintes fois violé et saccagé par de minables chercheurs de sensations le propriétaire, excédé à juste titre, décida de faire raser le monument. Cependant de nombreuses représentations existent dans plusieurs ouvrages.Le méridien de Paris pourrait il apporter des précision sur cette fameuse et mythique région de l’Arcadie ? Cette région doit son nom à Arcas dont la compagne est Artémis. Celle-ci devint, après sa mort, la constellation de la Grande ourse et Arcas devint l’étoile Arcturus : le gardien de l’ours. Mais encore l’Arcadie est l’omphalos, centre et nombril du Monde. De plus cette région est celle d’Hermès, donc le berceau de l’hermétisme. Le mythe de l’Arcadie se retrouve également dans le symbole du loup (le roi Lycaon) et présiderait aux créations de Troie et de Rome. En ce qui concerne Troie il est remarquable que les rois mérovingiens, et ceux d’Angleterre se soient dit d’origine Troyenne. La région d’Arques en ce cas pourrait avoir été intimement interprêtée, puis choisie symboliquement, comme une représentation idéale du mythe d’Arcadie… sans doute avec des raisons ésotériques qui nous échappent maintenant, mais peut-être encore accessibles au moment de la méridienne. Les raisons d’être, de cette dernière, n’étant plus de mise ou ayant achevé leurs fonctions, le méridien d’origine au XXe S. non seulement n’avait plus aucun rôle prépondérant mais pouvait, au contraire, permettre de comprendre ce qui ne devait pas, ou plus être compris !

La visite de Nicolas Poussin, auteur des ‘Bergers d’Arcadie’, en compagnie de Reynaud Levieux, dans les carrières sous ce qui deviendra l’Observatoire, passage et origine de la méridienne zéro… cette même méridienne coupant sur un tombeau dit ‘d’Arques’ permettaient de renouer le lien et de rester sur… le ‘bon chemin’ donné par N.D. de St Sulpice. Mais ce n’est pas tout. Dans l’église de Arques deux tableaux nous attendent, l’un passe pour avoir été commandité par l’évêque d’Alet (Aude), Mgr Pavillon, à… Reynaud Levieux !L’autre tableau ? il représente la ‘Ste Famille’ et comporte un détail frappant qui conduit directement sur les terres des seigneurs de Perillos, petite commune du Roussillon qui pourrait n’avoir aucun rapport avec le méridien de Paris si dans son histoire il n’y avait un détail incontournable : la légende du sire de Perillos.
Le sire de Perillos revenant de croisade trouve son fief et toute la région roussillonnaise dévastés par une créature géante le Babaos. Il finit, après bien des péripéties basées sur le chiffre 3, par détruire ce monstre dévastateur. Pour témoigner de la destruction de la bête le seigneur lui arrache trois cotes, une pour lui, une pour les notables de Perpignan et la troisième qui restera encastrée dans le porche d’entrée de la chapelle de Prats de Mollo… dernière balise construite sur la ligne de la méridienne de Paris. Nous ajoutons que l’on a retrouvé des écrits des Cassini dans plusieurs familles du secteur de Arques, Perillos et Prats de Mollo dans lesquels les directeurs de l’Observatoire de Paris posent des questions plus en rapport avec une histoire insolite du pays que sur le propos du tracé géographique lui-même. Dans un de ces courriers un Cassini semble vouloir préciser, à un notable, que le tracé méridien délimite sur ce pays roussillonnais plus une volonté implacable et une obligation salvatrice de vérité qu’une mise en règles geographiques qui nous échappent irrémédiablement.Enfin il nous semblait impossible d’aborder ce sujet sans faire état des travaux des écrivains Jules Verne et Maurice Leblanc.

Jules Verne (1825 – 1905) est à remarquer dans le registre de la méridienne de Paris. Sans jamais en faire état ouvertement l’étude et le développement de cette ligne rouge sur le globe, et surtout certaines de ses conséquences sur le Sud de la France, lui sert de fil conducteur traçant tel l’Arcane des compagnons constructeurs, la trame philosophique de plusieurs de ses romans. L’auteur appartenait à des milieux d’initiés notoires ainsi qu’à des sociétés très discrètes. Il restera à définir si Jules Verne vint à ces milieux initiatiques suite à ses travaux d’écrivain… ou si ses écrits l’obligeaient à une réflexion telle que le ‘passage par l’Axe Hermétique’ lui était devenu inévitable. Notons dans son œuvre quelques titres concernés: ‘Clovis d’Ardentor’, ‘César Cascabel’, Voyage au centre de la Terre’ avec son héros Axel, anagramme facile de ‘l’axe’, ‘le Sphinx des glaces’ et autres aventures ayant pour thème la course aux pôles, donc de l’axe du monde. Les ouvrages de Franck Marie : « Le surprenant message de Jules Verne », et de Michel Lamy : « Jules Verne initié et initiateur », sont pour nous incontournables en la matière.Maurice Leblanc (1864 – 1941) est un détour indispensable dans le domaine méridien et énigmatique. On peut pratiquement dire que la majorité de ses romans concernant Arsène Lupin (loup) font allusion à la méridienne, ses extériorisations et ses secrets, surtout ses finalités dans le Sud de la France, mais aussi ses ramifications étroites avec l’Histoire ‘occulte’ de notre territoire. Maurice Leblanc dut avoir, lui aussi, des relations directes avec les milieux initiatiques… mais était-il initié, initiateur… ou les deux simultanément ? Seuls ses romans peuvent nous le laisser deviner. Nous parlions de l’évêque Pavillon d’Alet, il suffit, à ce propos d’observer que ‘812’ est le titre d’une aventure d’ A. Lupin… et la date fondatrice de l’abbaye d’Alet. Quand à la ‘Roseline’ l’auteur ne tente même pas de la dissimuler dans les replis de ses romans, il la nomme ouvertement. L’ouvrage de Patrick Ferté : « Arsène Lupin Supérieur inconnu » est l’ouvrage de référence indiscutable en la matière. D’autres auteurs et personnages mériteraient largement leur place dans le tracé rouge du méridien de Paris, nous pensons en particulier à Arago, l’abbé Boudet, Méchain, etc…la place manque cruellement pour poursuivre avec eux notre parcourt méridien.Plus près de nous à présent et ce sera notre conclusion: le 15 octobre 1997 au Carroussel du Louvre était inauguré un système qui, d’une pyramide inversée terminée par une barre verticale, donnera la date du jour à midi de l’heure solaire. Ce monument du à l’initiative de Jean-Louis Heuddier (Comité Scientifique EUREKA) représente la méridienne inaugurée, ce jour là, en hommage aux Cassini qui se succédèrent à la direction de l’Observatoire de Paris.

La Rose Line dans Paris (Cartographie)

n.b. : le raccord entre l'image 2 et 3 est involontaire...il est dû au scannage.
Pour voir plus précisions sur les emplacements, cliquez sur chaque image





La Rose Line dans Paris (Emplacements)

La "Rose Line" est composée de 135 médaillons en bronze de 12 cm de diamètre, fixés au sol le long du méridien de Paris, entre le périphérique nord et le périphérique sud, traversant certains sites significatifs des XVIIle, IXe, IIe, VIe et XlVe arrondissements.


J'ai réussi à retrouvé la liste de leur emplacement du nord au sud de Paris :
Le nombre entre parenthèses indique le nombre de médaillon à cette adresse

XVIIIe arrondissement
¤ 18 av. de la Porte de Montmartre, devant la bibliothèque municipale (1)
¤ Angle rue René Binet / av. de la Porte de Montmartre (1)
¤ 45/47 av. Junot (1)
¤ 15 rue S. Dereure (1)
¤ 3 et 10 av. Junot (2)
¤ Mire du Nord, 1 av. Junot, dans cour privative, accès réglementé (1)
¤ 79 rue Lepic (1)

IXe arrondissement
¤ 21 boulevard de Clichy, côté trottoir et sur le terre plein central (2)
¤ 5 rue Duperré (1)
¤ 69/71 rue Pigalle (2)
¤ 34 rue de Châteaudun, cour intérieur du ministère de l'Education nationale (2)
¤ 34 rue de Châteuadun (1)
¤ 18/16 et 9/11 boulevard Haussmann, devant le restaurant (2)
¤ Angle rue Taitbout, devant la brasserie et 24 boulevard des Italiens (2)

IIe arronidissement
¤ 16 rue du 4 septembre (1)
¤ 15 rue saint Augustin

Ie arrondissement
¤ 24 rue de Richelieu (1)
¤ 9 rue de Montpensier (1)
¤ Palais Royal: péristyles de Montpensier et de Chartres, galerie de nemours, passage sous la voûte côté place Colette et place Colette devant le café (7)
¤ Angle place Colette et Conseil d'État, rue saint Honoré (1)
¤ Place du Palais royal, côté rue de Rivoli (1)
¤ Rue de Rivoli, à l'entrée du passage sous voûte (1)
¤ Louvre, aile Richelieu: salle des sculptures françaises et devant l'escalator (3)
¤ Louvre, cour Napoléon, derrière la pyramide (5)
¤ Louvre, aile Denon: salle des antiquités romaines, escalier et couloir (3)
¤ Quai du Louvre, près de l'entrée du pavillon Daru (1)
¤ Port du Louvre, non loin du Pont des Arts (1)

VIe arrondissement
¤ Port des Saints-Pères (1)
¤ Quai Conti, un à l'angle de la place de l'Institut (2)
¤ Place de l'institut, passage rue de Seine (1)
¤ 3 et 12 rue de Seine (4)
¤ Angle rue de Seine / rue des Beaux-Arts (1)
¤ 152 et 125-127 boulevard Saint-Germain (2)
¤ 28 rue de Vaugirard, côté Sénat (1)
¤ Jardin de Luxembourg, sur espaces asphaltés ou cimentés (10)
¤ Rue Auguste Comte, à l'entrée du jardin (1)
¤ Av. de l'Observatoire sur trottoir côté jardin (2)
¤ Angle av. de l'Observatoire / rue Michelet (1)
¤ Jardin Marco Polo (3)
¤ Angle av. de l'Observatoire / rue d'Assas (1)
¤ Place Camille Jullian (2)
¤ Sur terre plein angle av. Denfert Rochereau / av. de l'Observatoire, côté Observatoire (1)
¤ Av. de l'Observatoire (2)

XIVe arrondissement
¤ Cour de l'Observatoire de Paris (2)
¤ A l'intérieur de l'Observatoire (1)
¤ Terrasse et jardin haut, dans l'enceinte protégée de l'Observatoire (7)
¤ Boulevard Arago / place de l'Ile de Sein (6)
¤ 81 rue du faubourg Saint Jacques (1)
¤ Place Saint Jacques (1)
¤ Parc Montsouris (9)
¤ Boulevard Jourdan (2)
¤ Cité universitaire, axe allant du pavillon Canadien au pavillon Cambodgien, le dernier se
trouve derrière ce pavillon (10)

(source : http://www.amb-pays-bas.fr/fr/ambassade/pcz/arago.htm#localisation )

La Pyramide du Louvre

(source : magazine "Réponse à tout" - avril 2007)

Dans le magazine de ce mois-ci, quelle n'a pas été ma surprise lorsque je suis tombé sur l'article (p28) intitulé "Les grands travaux de nos présidents pharaons". Bien sûr on y parle de François Miterrand (p30), des ses travaux culturels : la vilette, une bibliothèque (je cite : "l'une ou de la plus grande et la plus moderne du monde"), et bien d'autres encores, mais aussi de la Pyramide du Louvre. Voici ce que dit l'article :
"La pyramide du Louvre, entre sacrilège et vision culturelle, est inaugurée en 1989. Cette initiative soulève toujours de nombreuses critiques, puisque la pyramide de verre empêche désormais une vue d'ensemble du Palais du Louvre. Certes laisser son empreinte sur un palais datant des Rois Capétiens est tentant, mais une pyramide étant d'abord un TOMBEAU, difficile de ne pas y deviner la tentation d'une vie éternelle" [...]

Cartographies de Rennes le Château

(Source : http://www.renneslechateau.com/francais/carte1893.htm )

Voici les cartes des environs de Rennes le Château datant de 1893 :
Villages de "Fa" et "Rennes le Château"


Villages de "Brenac" et "Granès"
Ces villages seraient apparemment liés à l'histoire du trésor de Rennes-Le-Château...
Voici donc une hyppothèse amusante de l'emplacement du magot de l'abbé Saunières... relions tous ces villages entre eux, et voyons ce que cela pourra nous donner :

J'ai donc relier tous les points entre eux et relever l'intersection....et bizarrement ou amusant cela aurait pu donner l'emplacement d'une prairie ou autre mais cela donne l'emplacement d'une forêt (figurant aussi sur la carte de 1893). Qui sait si son trésor ne se trouve pas ici ? mais cela paraît peu envisageable car trop simple à déduire.

La Divinité de Jésus

Jésus serait une "personne finie", "une personne humaine" et "un être humain tout comme nous". Le "vrai Dieu et vrai homme" devrait donc être réinterprété, au sens que "vrai homme" signifierait que Jésus serait "un être humain comme tous les autres", "un être humain et une créature finie" ; alors que "vrai Dieu" signifierait que l'homme Jésus, en qualité de symbole concret, serait ou servirait d'intermédiaire à la présence salvifique de Dieu dans l'histoire : c'est uniquement en ce sens qu'il pourrait être considéré comme "véritablement divin ou consubstantiel avec Dieu".

La Vierge aux rochers

Dans le film, Robert et Sophie se trouvent devant le tableau de "La Vierge aux rochers". Il existe 2 versions de ce tableau de Léonard de Vinci.
Pourquoi a t'il peint ce tableau deux fois à deux époques rapprochées ? avec 2 détails différents ?

Le tableau représente Marie (au centre), un Ange (à droite), Jésus et Jean-Baptiste au centre.

Regardez ces 2 versions....et à vous de trouver ce qui diffère....

1ère version : La Vierge aux rochers (Marie, avec l’Enfant Jésus, le jeune Jean Baptiste et un ange) - Année(s) 1483 / 1486 - Huile sur bois 199 x 122 cm - Musée du Louvre - Paris


2nde version : La Vierge aux rochersv. Année (s) 1493 / 1495 et 1507 / 1508 - Huile sur bois / 189,5 x 120 cm - National Gallery – Londres
Source http://artdevinci.free.fr/leonard/tableaux/tabs/tabr2.htm

Vous avez trouvé ?...non ? alors voilà les réponses (juste au cas où) :

¤ la main de l'Ange,
¤ la croix.

Pourquoi avoir enlever avoir enlever la croix de Jésus et le faire désigner par l'Ange ? Encore un mystère...

Les Dossiers Secrets du Prieuré de Sion

Les Dossiers secrets sont généralement considérés comme les archives du Prieuré de Sion. Plus précisément, ces Dossiers secrets, qui datent de 1967, sont constitués d'une série de textes prétendument rédigés par un homme du nom d'Henri Lobineau et rassemblés par Philippe Toscan du Plantier. Ils comportent aussi des coupures de journaux, diverses lettres, des arbres généalogiques, et un tableau datant de 1956 qui relate les débuts de l'histoire du Prieuré de Sion accompagné de la liste des grands maîtres. La collection a été déposée à la Bibliothèque nationale de France. Les Dossiers secrets sont arrivés au grand jour par l'intermédiaire d'un don volontaire et anonyme, effectué par quelqu'un qui appartenait à l'organisation depuis 1956. D'abord, les Dossiers désignaient Henri Lobineau comme le pseudonyme d'un certain Leo Schidlof, qui se serait inspiré du nom d'une rue située à proximité de l'église Saint-Sulpice pour se forger une identité. Après une rencontre entre les auteurs de L'Enigme sacrée et la dernière fille de Schidlof, qui a formellement nié le fait que son père ait appartenu à une société secrète, un autre communiqué fut rendu public, affirmant que Henri Lobineau était le pseudonyme d'un aristocrate nommé Henri de Lénoncourt.
Les Dossiers secrets sont truffés d'indices prometteurs à propos du Prieuré de Sion. L'élément le plus singulier est sans doute la page intitulée « Planche Numéro 4 », qui récapitule l'histoire et la structure de l'ordre. En plus de la liste des grands maîtres, ce document révèle l'existence de vingt-sept commanderies et d'une « arche », appelée « Beth-Ania », qui dirigeait probablement les commanderies. Cette arche était localisée à Rennes-le-Château, et les plus importantes commanderies se trouvaient à Bourges, Gisors, Jarnac, au mont Saint-Michel, à Montrevel et à Paris.
Les généalogies qui figurent dans les Dossiers secrets détaillent les lignages des familles censées appartenir à la « sainte lignée ». En d'autres termes, les familles présentées comme les descendantes de l'union supposée entre Jésus et Marie-Madeleine, les Saint-Clair, les Blanchefort (donnateur à l'abbé Saunière de Rennes-Le-Château), les rois mérovingiens et la maison Plantard. On trouve aussi dans cet ensemble de documents les généalogies des rois de Jérusalem et de Godefroi de Bouillon, qui, en 1090 [NDLR : 1099], fonda l'ordre de Sion original en Terre sainte.

Cimetière de Rennes-Le-Château


L'entrée du cimetière n'est pas très rassurante... la porte est ornée d'une tête de mort :



(photo prise lors ma visite du village)

Dalle des templiers

Voici la photo de la dalle des templiers que l'abbé Saunière découvrit sous l'autel et qui dissimulait les fameux manuscrits :



Statue de Marie-Madeleine

Dans cette église, de Rennes-Le-Château, encore une chose d'étrange... Marie, qui est la mère de Jésus, se devrait de porter la croix apres que son fils soit mort sur la croix, alors pourquoi l'abbé Saunière a t'il fait représenter Marie-Madeleine portant la croix de Jésus ?







Bénitier de l'église Rennes-Le-Château

Dessus du Bénitier

Ce qu'il m'a marqué la 1ère fois où je suis allé visité ce village, cette église, c'est que c'était la 1ère fois que je voyais un bénitier représentant le diable dans une église (une illusion d'optique, fait que vous avez l'impression que le diable vous fixe où que vous soyez dans l'église). Mais dans cette église, il y a d'autres étrangetés. vous verrez par la suite... =;-)

Bénitier
(Photo prise lors de ma visite du village)