La Musique du Film


Enigme n° 11 : Béranger Saunière et Rennes-Le-Château

Au début du film, Jacques Saunière se fait assassiner. existe t'il ? a t'il existé ? D'une certaine manière...OUI, mais sous le prénom de Béranger.

Pour résumer, c'était un petit curé de campagne à Rennes-Le-Château en 1885, sans le moindre sou. Il envisagea de restaurer son église en faisant appel à des donnateurs. Il commença par différents travaux, jusqu'au jour où il entrepris de rénover l'autel.

Ce jour là, il découvrit sous l'autel une dalle sculptée, face contre terre. Celle-ci représentait des Templiers. Mais ce n'est pas tout ce qu'il y avait...des parchemins. A partir de ce moment là, il eu la folie des grandeurs (Source livre : "Le Fabuleux Trésor de Rennes-Le-Chateau" de JAcques Rivière) :

(A notre époque 1 Franc Or correspond à 40 Euros)
¤ l'église refaite entièrement et dédiée à Marie-Madeleine, (193 000 Frs Or)
¤ chose étrange dans une église, un bénitier représentant le diable,
¤ une biblitothèque qui porte le nom : Marie de Magdala (Marie-Madeleine), (40 000 Frs Or)
¤ une villa (appelée villa Béthanie) (90 000Frs Or)
¤ une orangeraie, et des jardins exotiques autour de l'église, (19 050 Frs Or)
¤ des terrains (1 550 Frs Or)
¤ etc....
Soit un total au minimum de :
343 600 Frs Or (=> 13 744 000 Euros)
De quoi parlait ces parchemins ? pourquoi tant d'idolation pour Madie-Madeleine ? Là pèse encore le mystère car la légende raconte qu'il n'aurait dépensé même pas le 1/3 de ce qu'il a découvert, sachant qu'il aurait dépensé à l'époque PLUSIEURS CENTAINES DE DE MILLIERS DE FRANCS OR en l'espace de quelques années (il reste encore un joli magot), mais il emporta le secret dans sa tombe.

Jusqu'au début des 80, bon nombre de chercheurs de trésors ont essayé de retrouver ce qu'il doit rester, mais sans succès. Bizarrement, c'est vers cette époque que François Miterrand, qui entrepris la rénovation du Louvre, décida par un Arrêté d'interdire toute fouille dans cette commune. Pourquoi ?

Tour Maria-Magdala
(Bibliothèque)
Orangeraie et Jardins

Villa Béthanie
Bénitier












A l'occasion, arrêtez-vous dans ce petit village de l'aude (je l'ai visité et ça vaut le détour), entre Carcassonne et Perpignan, et qui sait ce que vous découvrirez peut être au détour d'un chemin ....

Sources du message :
A lire : "Le Fabuleux Trésor de Rennes-Le-Château ! " de Jacques Rivière, "Le Secret de l'Abbé Saunière" de Jean-Michel Tibaux

A voir : "L'or du diable" disponible en DVD (mini série avec Arielle Dombasle. 1ère diffusion en 1988 sur FR3 et disponible maintenant en DVD)

Pour les photos : http://www.renneslechateau.com/ , personnelles

Enigme n°10 : Les Mérovingiens

(Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9n%C3%A9alogie_des_M%C3%A9rovingiens)

Pour voir leur généalogie, cliquez sur le lien ci-dessus.

Enigme n°9 : Archives du Vatican

(Source : http://www.vatican.va/phome_fr.htm)
(rubrique Archives Secrètes)

Armez vous de patiente et n'hésitez pas fouiller en vous posant les bonnes questions =;-)

Tout ce que vous allez lire dans cette partie est TOTALEMENT VRAIE !
TOUT provient du lien source (ci-dessus)

La Spiritualité Nouvel Âge: aperçu général (site du Vatican : archives secrètes)
Les principes fondamentaux de la pensée Nouvel Âge
"Que dit le Nouvel Âge de…
...Dieu ? "

Le Nouvel Âge a une préférence marquée pour les religions orientales ou préchrétiennes, considérant qu'elles n'ont pas été touchées par les distorsions judéo-chrétiennes. D'où son intérêt pour les antiques rites agricoles et les cultes de la fécondité. « Gaia », la Terre Mère, est présentée comme une alternative à Dieu le Père, dont l'image est trop entachée d'une conception patriarcale de domination de l'homme sur la femme. S'il est question de Dieu, ce n'est jamais un Dieu personnel. Le Dieu dont parle le Nouvel Âge n'est ni personnel, ni transcendant. Ce n'est ni le Créateur, ni le sustentateur aimant de l'univers, mais une « énergie impersonnelle » immanente au monde, avec lequel elle forme une « unité cosmique »: « Tout est un ». Cette unité est moniste, panthéiste, ou plus exactement panenthéiste. Dieu est le « principe de vie », « l'esprit ou âme du monde », la somme totale de la conscience existant dans l'univers. En un certain sens, tout est Dieu. Et comme la présence de Dieu se manifeste surtout dans les aspects spirituels de la réalité, on peut dire, d'une certaine façon, que tout esprit est Dieu.
Quand les personnes humaines la reçoivent consciemment, « l'énergie divine » est souvent qualifiée aussi d' « énergie christique ». Mais le Christ dont il est question n'est pas Jésus de Nazareth. Le titre de « Christ » est donné à tout homme qui atteint un état de conscience dans lequel il perçoit sa propre divinité et peut donc se considérer comme un « Maître universel ». Jésus de Nazareth n'était pas le Christ, mais seulement un des nombreux personnages historiques en qui cette nature « christique » s'est révélée, comme Bouddha et d'autres encore. Toute manifestation historique du Christ montre clairement que les êtres humains sont tous célestes et divins, et les mène à cette compréhension.
Le niveau le plus intérieur et personnel (« psychique ») auquel les être humains « perçoivent » cette « énergie cosmique divine » est aussi appelé « Esprit Saint ».

Enigme n°8 : Les membres du Prieuré de Scion

(Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil)

Ugo de Blancheford (1150-1151)
Bernard de Tramelay (1151-1153)
Guillaume de Chanaleilles (1153-1154)
Evrard de N...? (1154-1154)
André de Montbard(1155-1156)
Bertrand de Blanquefort(1156-1169)
Philippe de Milly(1169-1170)
Eudes de Saint-Amand(1170- 1180)
Arnaud de Toroge(1181-1184)
Gérard de Ridefort(1184-1188)
Jean de Gisors(1188-1220)
Marie de Saint-Clair(1220-1266)
Guillaume de Gisors(1266-1307)
Edouard de Bar(1307-1336)
Jeanne de Barv(1336-1351)
Jean de Saint-Clair(1351-1366)
Blanche d'Evreux(1366-1398)
Nicolas Flamel(1398-1418)
René d'Anjou(1418-1480)
Iolande de Bar(1480-1483)
Botticelli(1483-1510)
Leonardo da Vinci(1510-1519)
Duc de Bourbon-Montpensier(1519-1527)
Ferdinand de Gonzague(1527-1556)
Nostradamus(1556-1566)
Duc de Longueville & Nicolas Froumenteau(1566-1575)
Louis de Nevers(1575-1595)
Robert Fludd(1595-1637)
Johann Valentin Andreae(1637-1654)
Robert Boyle(1654-1691)
Isaac Newton(1691-1727)
Charles Radclyffe(1727-1746)
Charles de Lorraine(1746-1780)
Maximillian de Lorraine(1780-1801)
Charles Nodier(1801-1844)
Victor Hugo(1844-1885)
Claude Debussy(1885-1918)
Jean Cocteau(1918-1963)
Pierre Plantard(1963-1984)

Il est tout de même étrange de retrouver certains noms cités dans le film. non ?

Toujours selon ces dossiers secrets, le Prieuré de Sion comprenait 1093 membres, structurés en sept niveaux. À mesure que l'on s'élève dans la hiérarchie, le nombre des membres se divise par trois, jusqu'à la charge de nautonier, exercée par une personne seule.

  • Preux (729 membres
  • Ecuyers (243 membres)
  • Chevaliers (81 membres)
  • Commandeurs (27 membres)
  • Croisés de St-Jacques (9 membres)
  • Princes noachites de Notre-Dame (3 membres)
  • Nautonier (1 membre)


L'Énigme sacrée indique que le Prieuré aurait autrefois constitué d’autres organisations secrètes telles que les Templiers, les Rose-Croix, les Francs-Maçons... Les secrets entourant le Prieuré de Sion engloberaient également l’alchimie, ainsi que les thèmes légendaires concernant les croisades et les Templiers(les mystères de la Famille Sinclair, Bérenger Saunière, le trésor de Rennes-le-Château et d'autres encore

Enigme n° 7 : Rosslyn Chapel (Ecosse)


Fondée en 1446 par Sir William Saint Clair qui y sera inhumé en 1484 alors que la construction n'est pas achevée.

1589, William Knox, prêtre et frère du prédicateur John Knox, fut interdit de célébrer un baptême car la Chapelle est un "monument d'idolâtrie et pas un endroit approprié pour enseigner la Parole et l'administration du Saint-Sacrement".

1590, l'inhumation de la Baronne de Rosslyn est refusée dans la Chapelle. (La famille Saint Clair n'avait pas rejoint le Réforme).

1601, les Francs-maçons d'Écosse reconnaissent William, Comte de Roslin comme leur patron et protecteur.

1628, les Francs-maçons d'Écosse reconnaissent William (fils du William de 1601), Comte de Roslin comme leur patron et protecteur.

1688, mise à sac de la Chapelle par la population locale suite à l'arrivée au pouvoir du protestant Guillaume d'Orange. La Chapelle est à l'abandon jusqu'en 1736.

1736, William Saint Clair de Roslin est le premier Grand Maître Maçon de la Grande Loge d'Angleterre.

1861, Restauration de la Chapelle

La Rosslyn Chapel ou Chapelle de Rosslyn (anciennement nommée Collégiale de St. Matthieu) est une église qui fut construite au XVe siècle dans le village de Roslin, dans le Midlothian en Écosse. Elle fut dessinée par William Sinclair(orthographe alternative "St. Clair") de la famille Sinclair, une famille noble écossaise descendant des chevaliers Normands de Saint-Clair et, selon la légende, liée aux Chevaliers du Temple. La construction de la chapelle commença en 1440 – bien que la date officielle de fondation soit 1446 – et s'acheva quarante ans plus tard.

Enigme n°6 : La Famille St-Clair

Dan Brown, dans son livre, nous explique à la fin qu'Audrey Tautou (alias Sophie St-Clair) est la dernière descendante de Jésus. Alors, la famille St-Clair, infos ou intox ? Et bien...infos.
Elle a existé, et doit sûrement exister encore aujourd'hui, et descend bien des rois mérovingiens.
J'ai réussi à retrouver une partie de leur généalogie (dont voici une partie de leurs membres) :
(Source :http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil)

à vous de trouver ;-)

Famille St-Clair :


  • Walderne de St-Clair
  • Guillaume St-Clair
  • William de St-Clair de Roslin
  • William de St-Clair (1204-1303)
  • Henry de St-Clair
  • Sir William St-Clair (?-1330)
  • ?
  • Henry St-Clair (?-1400?)
  • ?

Chose d'autant plus étrange, des membres de cette famille sont à l'origine du Prieuré de Scion, et de la Chappelle Rosslyne en Ecosse.

Enigme n° 5 : Le Saint Graal (ou Sangreal) 2nde Partie

Mais quel lien cela a t'il avec le Graal ?
Le mot GRA-AL est tout d’abord apparu dans l’ancienne Mésopotamie, sur des tablettes d’argile, datant de 3000 ans avant Jésus Christ. Le GRA-AL désignait alors la « Déesse d’Essence Maternelle » et « Le Nectar de Suprême Excellence ». C’était un mot spécifiquement rattaché au sang, et directement associé à la lignée royale. A partir de cette époque, le symbolisme du calice (une coupe) fut spécifiquement lié aux entrailles féminines. Dès le haut Moyen Âge et l’époque médiévale, on assimilait le Graal à la lignée Messianique de Jésus, défini par le mot français SANGREAL, (sang royal), qui désignait le sang royal de Judah, appartenant à la lignée royale Davidique, dont la progression s’est effectuée à travers Jésus et sa descendance. Il existe plusieurs variantes dans la prononciation du mot GRAAL.
Un calice féminin (un ventre symbolique) contenant le sang de Jésus illustre généralement le Graal, mais parfois aussi une vigne. Le vin étant un produit de la vigne, il s’agit donc de la tradition du calice et du vin du Graal que l’on retrouve au cœur même de la Sainte Communion (l’Eucharistie). Dans ce sacrement, le calice sacré, contient le vin qui incarne le sang perpétuel de Jésus. Bien qu’ayant conservé l’ancien rite de la communion, il est évident que l’Église chrétienne a commodément négligé d’enseigner l’origine de cette tradition, et nous l’a fait ignorer.[...]
Que signifie l’expression « sang perpétuel de Jésus » ?
A travers sa descendance, bien entendu. Alors, pourquoi les autorités religieuses ont-elles choisi de taire la signification de ce sacrement intimement rattaché à la lignée du sang ? En effet, pourquoi l’Église est-elle allée jusqu’à dénoncer le symbolisme du Graal comme étant une tradition hérétique, et à la condamner ? Précisément pour pouvoir garder le silence sur le mariage et la paternité de Jésus.[...]
Conclusion :
Un éclaircissement considérable est en vue avec l’arrivée du troisième millénaire. Une véritable renaissance est possible, où le code du Graal sera enfin reconnu et mis en pratique dans le respect de ses préceptes - liberté, égalité, fraternité...»
Troublant tout ça...non ?

Enigme n° 5 : Le Saint Graal (ou Sangreal) (1ère Partie)

Vous allez pouvoir consulter l'article suivant concernant le professeur Laurence Garder, lors de sa conférence de 1999. (Pour vous éviter de tout lire, je l'ai lu et j'ai relevé les faits les plus importants. Sinon, cela fait 6 pages recto-verso.). Et vous allez voir, que Dan Brown est TRES proche de la vérité.

Selon la césure opérée dans le mot, on peut y voir aussi bien le "Saint Graal" , conforme à la légende de Joseph d’Arimathie , que le "Sang Real " (Sang Royal ) , indication d’une lignée réelle et initiatique. Tous les textes relatifs au Graal insiste sur l’importance d’une lignée prédestinée à la garde du Graal , c’est à dire matrilinéaire : Perceval est le fils de la sœur du ROI PÊCHEUR . Plus qu’un objet , le Graal serait le symbole de la transmission de secrets initiatiques de génération en génération.
Conférence de Laurence Garder, 1999
[...]La Bible est un très gros livre, et nous en remettons la lecture à d’autres, avec le soin de nous informer de ce qu’elle contient. Ceci est bien naturel, mais nous devrions au moins nous assurer de la véracité du témoignage qu’on nous fourni avant de nous en satisfaire. Nous agissons comme si nous étions allongés sur une table d’opération, certes plein d’appréhension, mais confiants malgré tout dans les capacités du chirurgien. Cependant qu’adviendrait-il si cet homme décidait subitement d’innover selon son inspiration du moment, laissant de coté le savoir médical qu’on lui a enseigné ? Serions nous toujours aussi bien disposé envers lui ? Sûrement pas. Et pourtant, nous sommes restés docilement à la merci des autorités ecclésiastiques qui ont agit exactement de la sorte.
Ceux qui ont choisi d’être chrétien, devraient à ce titre être tenus au fait des dessous cachés de leur Livre Saint, ce que ne font pas les représentants de l’Église, qui persistent, depuis des siècles, à prêcher une mythologie biblique invraisemblable. Il est inouï de constater combien de choses nous pouvons attribuer au Nouveau Testament et qui n’y sont pas, et tout aussi surprenant d’en découvrir tant d’autres auxquelles on ne s’attend pas. Comment cela est-il possible ? C’est possible parce que l’Église a transformé les textes originaux de la Bible, de manière à ce qu’elle cadre parfaitement avec son dogme, sachant que nous n’irions vraisemblablement pas vérifier ses dires. Bien que les quatre évangiles rapportent des faits qui se sont produits à la même époque, c’est à dire, au début du premier siècle de notre ère, les dates, ainsi que de nombreux détails diffèrent. Des passages ont été prélevé dans chaque évangile et cousus ensemble à la suite les uns des autres, ce qui nous donne une version falsifiée, fabriquée de toute pièce, et qu’en réalité, jamais personne n’a écrite. Lorsque nous consultons les évangiles de Marc et de Jean, à la recherche du compte-rendu de la naissance de Jésus, nous découvrons, à notre grande surprise, qu’ils n’en font pas mention. A cet égard, on s’étonne aussi de ne pas retrouver dans les trois autres évangiles, le récit du premier miracle de Jésus qui est relaté dans l’évangile de Jean. Un événement pourtant aussi extraordinaire que de changer de l’eau en vin !
Mais ce n’est pas tout car les noms des douze Apôtres sont différents dans chaque évangile. D’où provient la liste des noms qu’on vous a enseigné ? D’un seul évangile ; en laissant les autres de coté ? D’un ouvrage apostolique autre que la Bible ? Il est probable que vous ayez appris leurs noms au catéchisme ou à la messe, comme en fait bon nombre d’entre-nous.[...]
Pourquoi n’y a t’il que quatre évangiles dans le Nouveau Testament, alors qu’il y en avait des dizaines d’autres de valeur tout aussi légitime ? Pourquoi ces derniers ont-ils été exclus lors de la sélection effectuée par l’empereur Constantin au concile de Carthage en 397 ?
Deux critères décisifs ont participé à cette sélection. Pour commencer, il fallait que le Nouveau Testament soit rédigé aux noms des apôtres proches de Jésus. Mathieu et Jean l’étaient, bien entendu, mais Marc, à notre connaissance n’était pas un apôtre, pas plus que ne l’était Luc, puisqu’ils furent tout deux des compagnons de Saint Paul, apparu plus tard. Quand aux évangiles de Thomas et de Philippe on les a exclus alors, qu’à l’évidence, ils faisaient partie du groupe des douze apôtres.[...] Qu’est ce que l’Église peut bien avoir contre les femmes ? L’Église reproche aux femmes de pouvoir perpétuer les lignées familiales en se mariant et en devenant mère. C’est cela même qui dérangeait l’Église au plus haut point, un sujet tabou qu’il fallait à tout prix écarter de l’image que l’on voulait donner de Jésus.
Bien que la Bible admette que Jésus fut marié (même dans sa version la plus épurée), ce fait n’est jamais clairement expliqué, et l’on n’en discute que très rarement [...]
Dans le « Graal et la lignée royale du Christ », nous en éclairons de très nombreuses, prenant comme point d’appui les archives juives et romaines de l’époque, ce qui, dès lors, nous offre une histoire bien différente. . ., où le mariage de Jésus et de Marie Madeleine se fait évident, ainsi que la naissance de leurs trois enfants.

Enigme n° 4 : Les Symbloes Masculin et Féminin dans la religion chrétienne

(Source Dictionnaire des Symboles)

Le Triangle est le Symbole du feu il est associé au chiffre 3, symbole de divinité et donc un symbole de puissance. Le triangle est le principe du masculin et du féminin qui s'unissent pour donner naissance un troisième principe, (comme le père et la mère donnent naissance à un enfant) c’est une notion d’union et d’harmonie.
Le Masculin : Représenté par un triangle pointé vers le haut

Le Féminin : Représenté par un triangle pointé vers le bas
Le triangle est parfait s'il est équilatéral, car il représente l'équilibre entre l'intellect, le coeur et la volonté. Le triangle peut aussi représenter les trois attributs de la Divinité: Puissance, Amour et Sagesse, ou pour prendre un parallèle divin chrétien, le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

Enigme 3 : L'Empereur Constantin et le Concile de Nicée (an 325)

(Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil)

L'empereur romain Constantin 1er convoque le concile. Il vient en effet de réunir l'Empire romain après avoir vaincu Licinius à Andrinople, en septembre. Se rendant en Orient, il constate vite le très grand nombre des dissensions au sein du christianisme. Afin de rétablir la paix religieuse et de construire l'unité de l'Église, et sans doute aussi de parvenir à ses fins politiquement, il décide de réunir un concile. Celui-ci réunit des représentants de presque toutes les tendances du christianisme, peu après la fin des persécutions (celles lancées par Dioclétien durent jusqu’en 313, et certains évêques portent encore les traces des tortures infligées à cette occasion).
Après plusieurs mois au cours desquels les évêques ne parvinrent pas à se mettre d'accord sur un texte décidant de la nature de la Trinité(selon cette représentation, Dieu consiste en une seule substance divine en trois personnes distinctes : le Père, le Fils et le Saint-esprit), l'empereur menace les quatorze récalcitrants. Trois restent fidèles à leurs conceptions, dont Arius, et sont excommuniés. La conséquence est donc la création d'une orthodoxie, en conflit avec une hérésie devant être éradiquée.

Enigme n° 2 : Les Evangiles Agnostiques

L'évangile de Marie-Madeleine a été trouvé dans le codex de Berlin (cité dans le film...existe...le codex de Berlin a été découvert en 1896 à Akhmin en Égypte dans une tombe chrétienne. Il est écrit dans un dialecte copte sur du papyrus. Sa traduction complète s'acheva dans les années 50 seulement. Il est actuellement conservé à Berlin. Daté du IVe ou Ve siècle après Jésus Christ, il contient 56 textes complets ou fragmentaires, dont l'Évangile de Marie, qui donne une place importante à Marie Madeleine), un texte gnostique des apocryphes du Nouveau Testament. Traduit du copte, il contient 18 pages. Il a été découvert par le Dr. Reinhardt en 1896 mais il a seulement été publié en 1955 avec la bibliothèque Nag Hammadi. Les pages 1 à 6 et 11 à 14 sont manquantes.
Contenu : Le texte a pour thème principal la mortalité, l'ascension du Christ et l'ascension de l'âme selon le gnosticisme. Comme Marie de Magdala est à la tête des apôtres dans ce récit, cela indique que le texte était la propriété d'une croyance qui rejetait l'autorité ecclésiastique. Sophia, la personnalité gnostique, joue également un rôle dans ce pseudo-évangile. Il s'agit surtout de dialogues entre Marie de Magdala et les apôtres. Les discussions spirituelles sont influencées par la gnose.

Marie-Madeleine aurait été la femme du Christ et aurait eu des enfants avec lui. L'Église aurait étouffé ces faits par la force et la terreur et œuvré pour nous cacher la vérité, non seulement en occultant le rôle majeur joué par Marie Madeleine dans la transmission de l’enseignement de Jésus, mais encore en effaçant le mariage du Christ et de sa « disciple préférée ». Elle en aurait ensuite fait une prostituée pour condamner le désir charnel.
Jean et elle auraient constitué une seule et même personne : Marie-Madeleine serait désignée dans les textes sous l'identitié de l' «apôtre Jean» – lequel est souvent vu comme l'apôtre préféré du Christ et désigné par des expressions telles que « le disciple que Jésus aimait

L'Évangile de Philippe désigne Marie Madeleine comme la "compagne" de Jésus.
Texte : « Et la compagne du fils est Marie Madeleine. Le Seigneur l'aimait plus que tous les disciples et il l'embrassait souvent sur la bouche. Les disciples le voyaient et ils lui dirent : Pourquoi l'aimes-tu plus que nous tous ? Le Sauveur répondit et leur dit : Comment se fait-il que je ne vous aime pas autant qu'elle ? Un aveugle et quelqu'un qui voit, quand ils sont tous deux dans l'obscurité ne se distinguent pas l'un de l'autre. Si la lumière vient, alors celui qui voit verra la lumière alors que celui qui est aveugle demeurera dans l'obscurité".

La Cène

(Source : www.louvre.fr)

Pas de calice (saint graal) sur la table, mais le symbole du féminin sacré (partie noire) en forme de calice.



De même, le personnage à la droite de Jésus...est une femme...Marie-Madeleine (cheveux longs, ébauche d'une potrine). Si l'on place ce personnage (comme je l'ai fait) à la gauche de Jésus, ceux-ci se complètent parfaitement : tête sur l'épaule, bras enlacés.


La Joconde


(Source : www.louvre.fr)
En arrière plan, le paysage est différent à droite et à gauche. celui de gauche paraît en contre bas. Il n'est pas symétrique.

La Petite Pyramide du Louvre


La Grande Pyramide du Louvre


Enigme n° 1 : Les Pyramides du Louvre

François Mitterrand annonce le projet du Grand Louvre
(Source :
http://www.louvre.fr ) (histoire du Louvre, détail de la période Sept 81)
L'amélioration des installations du Musée et une meilleure présentation des collections sont une évidente nécessité, lorsque, le 26 septembre 1981, le président de la République, François Mitterrand annonce que le Palais du Louvre sera entièrement dévolu au Musée. Le Ministère des Finances, logé jusque là dans l'aile Richelieu, est transféré dans de nouveaux locaux. Le projet « Grand Louvre », qui va entraîner un remodelage complet du Musée, est lancé.

Nomination de Pei comme architecte du projet. Début des fouilles et création de l'EPGL (Source : http://www.louvre.fr ) (histoire du Louvre, détail de la période Juill 83)
Le 2 novembre 1983, l'Établissement public du Grand Louvre (EPGL) assume la charge effective de la conduite des travaux. L'architecte américain d'origine chinoise, Ieoh Ming Peï, célèbre pour ses nombreuses réalisations et notamment celle de la nouvelle aile de la National Gallery à Washington, est désigné pour mener à bien l'agrandissement et la modernisation du Louvre. Des fouilles archéologiques précèdent l'aménagement du sous-sol de la Cour Napoléon et la construction de la pyramide.
Commentaire personnel : qu'ont-ils trouvé ? pourquoi des pyramides à cet emplacement ?

Ouverture de la Pyramide
(Source : http://www.louvre.fr ) (histoire du Louvre, détail de la période Mars 89)
Le 30 mars 1989 est inaugurée la Pyramide de verre construite par I. M. Peï. Érigée au centre de la Cour Napoléon, elle détermine les grands axes de circulation du palais et conduit en sous-sol à un vaste hall d'accueil d'où l'on accède aux espaces dévolus aux expositions temporaires, aux salles relatant l'histoire du Palais et du musée, ainsi qu'aux fossés du Louvre de Charles V, à un auditorium et enfin à différents services pour les visiteurs (vestiaires, librairie, cafétéria, restaurant).